FONCTIONNEMENT ADMINISTRATIF DU THÉÂTRE COLÓN  

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Le Théâtre Colón dépend du Gouvernement de la Ville de Buenos Aires, il compte environ 1200 employés permanents, c'est-à-dire permanents, qui y développent toute leur carrière.

Un peu plus d'un tiers sont artistiques, un tiers sont techniques et un autre tiers est des services auxiliaires et administratifs.

Depuis l'adoption de la loi sur l'autarcie, le Théâtre Colón a constitué un conseil d'administration de 5 directeurs, chacun avec un cabinet et un budget pour cela.  Les salaires proviennent d'un poste tandis que le budget de production et les contrats proviennent d'un autre.

Le budget du Teatro Colón est très important car ses productions doivent avoir le même niveau que celui des premiers théâtres du monde, de plus, il peut ajouter des ressources provenant de la publicité, de la location de salles ou d'événements, et des visites guidées.

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Lorsque la situation présente une certaine variation dans les valeurs des monnaies, le théâtre, si ce n'est pas prévu, demande un renforcement du jeu qui lui est traditionnellement accordé. La gestion des ressources a une composante politique et les administrateurs  ils défendent des contrats internationaux qui donnent au public et à l'étranger une image de grand théâtre international. Les efforts politiques sont généralement respectueux des écarts exorbitants qui résultent parfois des contrats en matière de salaires, mais cette caractéristique a été tolérée sauf dans les moments où elle a été excessive, étant donné la sous-traitance au service de la  profit d'un cadre qui a reçu des retours de managers ou d'artistes.

Pendant de nombreuses années, le critère a prévalu que, pour venir à Buenos Aires, il fallait payer plus que dans le monde entier, ce qui s'est avéré faux en plusieurs étapes qui, par nécessité  u honnêteté, ils ont défendu les ressources publiques de manière efficace et austère.

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Le budget de chaque année doit être défendu devant le législateur, qui est finalement celui qui l'approuve.

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Jusqu'en 2005, la conduite était composée de :  

Directeur général et artistique

Directeur Général

Directeur technique

Directeur des études

Siège de chaque section.

Directeur du personnel

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Il y a 60 ans, les corps artistiques comptaient presque le même nombre de membres et les corps administratifs n'étaient que 4.

Les salaires étaient payés à l'EATC et les hiérarchies étaient claires,  Le premier violon était la figure la plus respectée dans les instances artistiques et les barèmes ou grilles de salaire étaient référencés à ce chiffre, son salaire étant de 100 %, puis les solistes à 92 % et donc les autres proportionnellement.

Les relations étaient similaires dans le monde et elles continuent de l'être, bien qu'en Argentine, depuis la crise de 2001  ,  Les négociations de forfaits pour favoriser les personnes dans les pires conditions de travail, comme des salaires plus bas, aplatissent les relations et génèrent des inégalités dues à des dépenses que seuls les professeurs d'orchestre assument.

Sous la direction de D. Caballo, le concept d'antiquité qui est maintenant discuté comme une carrière a été perdu, mais qui, dans tous les orchestres du monde, englobe généralement une différence puisque l'expérience du musicien d'orchestre est ce qui permet que la production soit plus efficace et de meilleure qualité, cette expérience est reconnue comme dans l'enseignement.

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Les spécificités des musiciens d'orchestre sont généralement inconnues mais lorsque le temps est investi et bien expliqué, les responsables ne peuvent s'empêcher de comprendre que l'effort d'un musicien d'orchestre n'est pas le même que celui d'un technicien ou d'un commis.

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L'entrée des musiciens dans l'orchestre se fait au travers de concours internationaux très exigeants, et pour cela, ils doivent se préparer en investissant dans des formations et des matériels très coûteux. Il n'y a pas de doyens travaillant du mardi au dimanche, le lundi vous devez étudier à la maison surtout si vous avez un poste d'exposition.

  la disponibilité inclut les tâches de nuit mais le travail de fin de semaine ou de nuit n'est pas reconnu.

Un basson peut coûter 50 000 $, des instruments à cordes de qualité peuvent coûter plus de 100 000 $.

Les fournitures ne sont pas produites en Argentine, donc en plus d'être chères, elles coûtent le double à leur arrivée si elles ne sont pas obtenues d'une autre manière ou sont apportées par un particulier.

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Des discussions ignorantes alors confrontées à des délégations intolérantes et rancunières où le nombre de délégués par section ne reflète même pas la réglementation en vigueur, inclinent le pouvoir de la force vers les secteurs non artistiques.

Les dirigeants syndicaux trouvent dans la conformation des délégations un problème qu'ils ne peuvent résoudre car, en même temps que les propositions des non-artistes sont injustes, ils ont un plus grand nombre d'adhérents car les musiciens n'ont jamais bénéficié du syndicat Stratégies. Au fil des années, ils se sont retirés, laissant des espaces vides pour la discussion et la voix de celui qui a crié le plus fort et ravie dans le discours de l'égalité pour tous a prévalu, tandis que les seuls qui investissent et assument les dépenses de matériel de travail sont les musiciens d'orchestre .

Les non-artistes ne reconnaissent pas, (mélange d'ignorance et de ressentiment,) le travail du musicien  développé en dehors de leurs heures de travail.

Voici un exemple : un violoniste doit apprendre une partition après les heures, d'un  jour pour l'autre.

Seuls les musiciens doivent investir "obligatoirement" dans les instruments, l'entretien,

remplacement et fournitures. Dans aucune activité publique, cela ne se produit.

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ANTICONSTITUTIONNEL, INFRACTION AUX LOIS,

DÉFAUT DE PROMETTRE UNE CARRIÈRE PROFESSIONNELLE,

DISCRIMINATION, PROBLÈMES. NON-RESPECT DE LA REGLEMENTATION

ET D'ENTENTES DE NÉGOCIATION PENDANT 10 ANS.

ABUS ET HARCÈLEMENT AU TRAVAIL PAR LES EMPLOYÉS,

GESTIONNAIRES ET COMPAGNONS.

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Dans la constitution, les lois publiques sur l'emploi, 471 qui réglementent l'emploi dans la GCBA, les conventions collectives et d'autres sources internationales documentées, garantissent des conditions d'égalité pour les travailleurs. Le règlement du Teatro Colón oblige les musiciens à fournir leur instrument dans des conditions. Aujourd'hui, les musiciens symphoniques paient ou investissent plus qu'ils ne facturent.

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Les orchestres, comme dans le monde entier, devançaient les chorégraphes et les danseurs. Aujourd'hui, il y a des chorégraphes qui gagnent plus qu'un violon, un violoncelle, un alto ou une contrebasse, car ils ont réalisé une carrière à 15 ans que les musiciens d'orchestre ont été refusés à ce jour.

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Dans différentes administrations, des grilles salariales ont été établies là où il y avait une relation entre les catégories d'artistes et d'autres secteurs, mais bien qu'un deuxième ou principal responsable technique des domaines techniques  ou d'autres facturés au même titre que les solistes et suppléants des orchestres, seuls les musiciens avaient l'obligation d'apporter leur instrument, de l'entretenir, de le remplacer et de payer leurs apports.

Lorsque les salaires variaient de 2 500 $ à 3 500 $, il était possible de mettre de côté 500 $ à 1 000 $, ainsi que de pouvoir faire d'autres travaux après les heures normales ou donner des cours. Toujours d'autres activités ont permis au musicien de l'orchestre Colón d'économiser pour ses matériaux puisque l'exigence exige des matériaux de la plus haute qualité (qui doivent être importés) sans compter qu'il existe des instruments qui coûtent la valeur d'un département.

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Au fil du temps, la politique incorporait du personnel dans des domaines non artistiques qui, en plus, permettait aux différents délégués d'intégrer leurs enfants, leurs épouses ou leurs frères et sœurs. Ceux-ci ne concourent que dans des concours fermés et le syndicat garantit leur accès.

Dans le cas des artistes, ce n'est pas possible, car les concours sont ouverts et ont été de plus en plus difficiles et exigeants.

Les orchestres sont les seuls qui n'ont pas de clauses favorisant les artistes nationaux, comptant pendant 10 ans avec un service RH qui a convaincu les directeurs que de cette manière l'accès aux meilleurs musiciens était garanti, mais en pratique, des postes ont été perdus par des personnes qui venaient tester sans intention de rester, ou des étrangers sans références dont les comportements étaient problématiques, obscurcissant les climats de travail.

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Dans aucun orchestre au monde cette situation ne se reproduit.  

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Jurys internationaux  niveaux de demande, sons,  instruments  et des apports de niveau international, mais le musicien n'a pas de revenus proportionnés , avec lesquels la politique  le salaire a laissé le musicien argentin dans une situation de désavantage total par rapport aux étrangers . Mais encore, le musicien étranger qui décide de la concurrence et entre et doit louer et passer à une autre ville et  c'est insoutenable,  tant de part et ceux qui restent  souffrir émotionnellement  comme les nationaux la maltraitance institutionnelle.

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Je me renseigne  déformé  il atteint le dir. Général en relation  aux comportements des professionnels,  atteindre après un certain temps la mauvaise prédisposition  des administrateurs estimant  que les musiciens ne veulent pas  travailler  ou ils sont hostiles à sa gestion .

RESPONSABLE : le DRH.

Ces comportements n'ont pas été observés  pendant la gestion  de l'ancienne directrice du personnel Cristina  Rythme , qui n'était pas exactement  une personne charismatique  ou amical mais au courant de l'activité, ouais  à quel point c'était grave  en ce moment  remettre les choses à leur place,  ne pas  argumenté  évident et maintenu  je respecte  et équilibre  durant  ses 30 ans de mandat.

Ni de conduire  syndicat  par Norberto Canela, surnommé le fou, gérant de magasin de chaussures  avec son tempérament, qui envers  nombres  dans le  théâtre  avec des critères  efficace  Oui  défendu  les  termes  un salaire  du  premier violon  parce que 

je savais  qui était incontesté  tout le monde a déjà marqué une référence  positif.

Actuellement non  déléguer  technique  les services auxiliaires n'ont fait qu'un seul numéro bien que  ils prêchent  savent les faire, ils ont seulement résisté  les travaux de  Merenzon qui s'est porté volontaire  faire le leur. La zone  administratif a des délégués qui restent  bien sûr ils sont déficients en faisant des nombres  ou poursuivent-ils simplement leur gain personnel et arrêtent-ils les musiciens  avec une seule justification , le  rancœur  de ce que  ils croient qu'ils sont des avantages;  mais les samedis et dimanches ils se reposent et les jours ouvrables après leurs 6 heures ouvrables  aussi,  tandis que les musiciens travaillent du mardi au dimanche sans sorties en famille ni repos quand  Ils viennent  répertoires  difficile  ou des réalisateurs exigeants.

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Certains spécialistes indiquent que le musicien symphonique  est la deuxième activité la plus stressante  dans le monde après  du pilote  d'avions. Seule une personne qui n'est pas au courant du travail du musicien fait les plaintes qui sont entendues par les délégués et les DRH.

Un ignorant fait plus de mal qu'un mal  délibérer.

et contre celui qui est les deux, il n'y a pas de défense

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Pendant 8 ans, Merenzon a dit aux 20 délégués d'autres secteurs que seul le premier violon devait être discuté et qu'elle défendrait les crochets historiques, ce qui a toujours été discuté par les artistes, mais elle n'a pas accepté qu'ils résistent aux dépenses que les musiciens ont et les autres secteurs no.

Il n'y avait aucune chance qu'ils acceptent, c'est ainsi qu'en 2018 lorsque la direction du Théâtre, le SUTECBA et le GCBA ont convenu que les orchestres commencent à négocier leur carrière, car Merenzon avait les œuvres avancées qu'il n'avait qu'à mettre à jour, un vague de violence, devant dénoncer que les délégués ont déclaré que si elle continuait, ils l' écraseraient, ce qui a été répudié par les secrétaires de SUTECBA qui ont demandé un accord.

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Les orchestres ont décidé d'avancer comme convenu par tous et les calomnies, les cris, les menaces et l'isolement étaient constants. Les principaux bourreaux, qui, dans les orchestres et pendant que Merenzon négociait, disaient se débarrasser de cette folle , une attitude antisyndicale condamnée par tout syndicat. D'autres qui jouent un stagiaire à SUTECBA, ont commencé à rassembler des musiciens rancuniers qui ont ensuite répété le même discours de manière grotesque avec des arguments  como que la negociación de Merenzon no es tal, que no va prosperar, que ella trabaja para la dirección, que si la corren , todos juntos conseguirían un aumento del 200%, en referencia al discurso de los delgados administrativos que decían saber de donde saldría l'argent.  

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Des mensonges et d'autres mensonges ont été confirmés par le  Directrice des RH et a tenté une négociation décidée par MV Alcaraz, réconciliée par elle avec les secrétaires de la Guilde et du service RH de GCBA.

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En décembre 2019 Alcaraz  il a obtenu les ressources pour la carrière des professeurs d'orchestre et une avance pour tous les autres de 10 ou 15 % pendant qu'ils négociaient leur propre carrière.

Une excellente gestion qui s'est vue  frustré par les gens violents qui ont sorti des affiches sans l'aval de SUTECBA et sont sortis pour calomnier  dans la rue devant la presse sans le contrôle du délégué syndical  Merenzon, qui avait déjà été lynché et isolé.

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Un débat  permanent de  s ignorants i comparer  heures de travail, en prétendant que le musicien  œuvres orchestrales 6 heures par jour lorsque les répétitions sont  typifié  en 3 heures puis ajouter des heures d'étude de  Musique  dans son  adresse  puisque le théâtre ne compte pas  avec des espaces d'accords. Un musicien d'élite n'étudie pas moins de  4 à 5 heures par jour si vous avez des responsabilités en solo ou en leadership. Chaque semaine le répertoire change et les parties sont,  le Mayori au parfois long et difficile, mais il faut arriver à la première répétition avec la matière étudiée et ne pas faire d'erreurs. Cette évidence,  a été  résisté par l' ignorance  et le ressentiment  croissante, provoquant des tensions et des violences entre  les différents groupes du théâtre.

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Une fois de plus, la responsabilité d'être judicieux et de connaître le sujet incombe au service RH, qui depuis 10 ans se consacre à provoquer, maltraiter, négliger et faire taire les quelques droits acquis par les professeurs d'orchestre, négligeant la justice de leurs revendications et donnant entité à la subversion des valeurs.

Pourquoi?Par ignorance et ressentiment et parce qu'il est à la tête de près de 100 employés administratifs qui ont l'intention de facturer la même chose que l' artiste  sans avoir votre préparation  ni exposer  dans le  scène beaucoup moins sans avoir un instrument à entretenir .

Non  Pays  le monde a les relations de travail de l'EATC depuis que le directeur a rejoint  des RH ES , la preuve en est que depuis qu'elle occupait ce poste, 5 directeurs ont changé, la baisse des conditions de travail était permanente, aucun directeur n'a réussi à les résoudre et elle a imposé des conditions indignes profitant des faiblesses que les musiciens présentaient et pendant 10 ans la promesse d'une carrière que le GCBA a compromise mais qu'elle a pris soin de verrouiller.

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En 2018, l'accord de ne pas forcer les entrants à démissionner de leurs emplois antérieurs a été rompu, puisque la loi 471 prévoit la possibilité d'exceptions qui peuvent être accordées par l'exécutif (directeur du Théâtre) et qu'elles étaient plus que fondées sur la base que le Théâtre ne peut pas fournir les ressources pour entretenir les instruments.

Pendant deux décennies cette difficulté a été abordée et la considération de l'être humain et de l'intérêt artistique a prévalu, c'est-à-dire que d'autres œuvres ont subventionné le Théâtre afin que les musiciens puissent maintenir leurs dépenses de fonctionnement, le tout au prix de l'usure psychophysique des artistes qui avaient passer la journée à étudier et à répéter dans deux ou plusieurs orchestres.

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Mais lorsque les dernières négociations ont commencé et que Merenzon a tenu bon et que ses enquêtes étaient incontestées, la violence et le harcèlement psychologique envers les artistes et la complicité de domaines qui n'ont pas fait preuve d'efficacité ou investi des ressources pour formuler des propositions subverties se sont aggravés.

Aujourd'hui un administrateur ou un technicien engueule un artiste multi-récompensé avec 40 ans d'expérience, 10 albums enregistrés et des récompenses à l'étranger, sans que les RH n'interviennent pour assurer l'impunité, rédiger des plaintes et des calomnies avec des informations mensongères qui amènent la direction générale. 

Que font les RH ? Tout.

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Que fait le Teatro Colón ?

Depuis 2007, il a été revendiqué sans obtenir de réponses et lorsque les négociations ont atteint leur point final  ont été sabotés par les secteurs de l'opposition et la direction  des RH

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  Aujourd'hui c'est dénoncé  de contraintes , mauvaise performance des agents publics, trahison  d'accords sans préavis,  violation  du droit des associations  guildes  négocier contre  des délégués qui demandent  justice et avoir  prouvé avec des données concrètes la véracité  de leurs arguments.

  Les délégués  les syndicats respectaient les hiérarchies  et en ce moment  à négocier  ils se sont toujours alignés derrière  de la figure du violon solo. Au fil des années, les différences de préparation , de formation  et capacités  ils ont commencé  sentir et les délégués syndicaux ont défendu  leurs avantages  ralentir  les conditions  travail des musiciens .

En 2010, la délégation était en charge de A. Merenzon pour l'OFBA et R. Valle pour l'OETC, alors que sur les autres secteurs 22 maigres, majoritairement des hommes, ne répondent pas à une logique  proportionnel. Il en est résulté qu'en votant ou en criant, la disproportion  des forces  imposé des critères subvertis.

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ils ont négocié  sommes fixes que les catégories d' achataron, la priorité a été donnée aux catégories  inférieur  et résisté  la nécessité des dépenses des musiciens  étaient couverts .

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Les près de 1000 employés  n'a pas donné de réponse  cohérent,  concret et réalisable dans les discussions  au suivant  question.

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1- Est-il juste que dans  relation  gagner  égal à un musicien d'orchestre mais que leur salaire net reste intégral tant que  que le musicien  tu as un  40%, 10% ou comme dans  le présent,  si vous gardiez votre  instruments  je le remplacerais si nécessaire  et acheter des fournitures selon les besoins, vous devez mettre votre propre argent au-dessus de votre salaire  ressources si vous avez la chance de les avoir pour couvrir votre matériel ?

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Réponse : non, le matériel doit  leur fournir  le théâtre en connaissance de cause  que c'était impossible  à mettre en œuvre, c'est comme demander à un orthopédiste  chaussures orthopédiques  pour 223 personnes. Dans le monde ce  Ça marche  sinon et les dépenses sont comptabilisées.  

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Ce qui s'est passé depuis 2019 ne pourrait jamais arriver sans la collusion d'un secteur de la direction, de la délégation syndicale et des musiciens qui ont négocié leurs avantages et créé un climat hostile exprès pour arrêter la négociation .

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